De la Guyane à Sint-Maarteen

Les prémices d’une collaboration entre l’Amérique du Sud et la Caraïbe

Mis à jour le vendredi 21 février 2025

Sous l’impulsion de l’IEN ET-EG LLV ANGLAIS, Madame Myriam THEOLADE (RAGOO-RIMBAUD), deux établissements de l’enseignement professionnel de la Guyane se sont associés afin d’établir et de développer un réseau de partenariat avec les établissements de la partie Néerlandaise de l’île de Saint-Martin, dans la Caraïbe.

Ce projet commun entre les LPO Balata et Melkior-Garré a été rendu possible grâce aux fonds européens du programme ERASMUS+.

Du 11 au 16 mars 2024, 6 personnels ont été chaleureusement accueillis sur l’île, par les personnels du Milton Peters College (MPC) avec pour ambition de diversifier les enseignements pour nos filières du BTP, des Carrières Sanitaires et Sociales, et des métiers de l’Hôtellerie et de la Restauration.
« Notre déplacement vers le MPC (Milton Peters College) a été une grande première pour nos hôtes qui pourtant ont l’expérience d’échanges avec l’Allemagne et les Pays-Bas. Nos discussions ont abouti sur des « pré-accords » ; l’élaboration d’un calendrier d’activités énonçant des actions d’échanges à court terme : en virtuel dès septembre 2024 et en présentiel dès le premier trimestre 2025 », nous explique Rachelle BOWERS, chargée de mission et porteur du projet au LPO Balata.

A cette occasion, nous avons été à la rencontre des entreprises de la place, avec lesquelles nous avons préparé l’accueil de nos jeunes lycéens en Période de Formation Professionnelle (PFMP) ; une action qui s’inscrit pleinement dans le cadre institutionnel pour la promotion des langues vivantes et des mobilités au lycée professionnel. L’accueil a été des plus favorable par plusieurs entreprises et rendez-vous a été pris afin de revenir avec des élèves courant 2025.

Nous sommes heureux de ce déplacement qui a permis de faire naître une première collaboration avec la Caraïbe. Ainsi, les bases de notre partenariat étant établies, il est évident que nous sommes tous motivés à l’inscrire de manière pérenne dans la durée. Nul doute, qu’il en soit ainsi, avec des premiers contacts aussi fructueux.

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